LA JUSTICE DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO DOIT PROUVER QU’IL EST PRET A DEFENDRE SES VICTIMES!

Un Jour un ex President Congolais a dit: “” … Il n y a pas des rebelle je vous ai dit que ce sont des rwandais. Vous voulez que je l’exprime en quelle langue pour que vous compreniez que ce sont des rwandais ? Ces messieurs ont trouves trouves trop de miel ici, qu’ils veulent revenir. Ils ne veulent pas quitter ce pays. Si seulement ils voulaient rester dans ce pays en respectant les autochtones, on les accepterait facilement mais ils viennent en conquérants pour dominer tout le monde. C’est inacceptable…”” Mzee LD KABILA.
Les Congolais sont dans une situation catastrophique depuis que Paul Kagame, aidé par ses amis américains et britanniques, a réussi à placer à la tête de notre pays un de ses soldats, ancien maquisard du FPR en la personne de Joseph Kabila. Toutes les autorités congolaises sont paralysées chaque fois qu’on est en présence des crimes des hommes de Kagame. Le Congolais ne sait pas exactement ce qu’il faut faire parce que personne ne sait ce que pense Kabila de ces crimes. Une partie des crimes reprochés à Karenzi Karake ont été commis durant la Première Guerre du Congo (massacre des réfugiés hutus, assassinat des 11 religieux à la paroisse de Kalima, massacres de Shabunda, Tingi-Tingi,…). Un homme faisait partie des assaillants, le Commandant Hyppo et on sait qu’il a personnellement participé à une partie des crimes. Quant aux massacres de Kisangani de juin 2000 dont Karenzi Karake est également accusé en tant que commandant des forces rwandaises à Kisangani sous couvert de la « rébellion » du RCD, plusieurs officiers impliqués dans le massacre ont été nommés par Kabila dans la hiérarchie des FARDC. En gros, tant que Kabila sera à la tête du Congo, les Congolais sont condamnés à rester aphones et inaudibles sur les crimes qu’ils ont subis de la part des hommes de Kagame, dont l’un a fini à la tête du pays. Sous d’autres cieux, après l’arrestation de Karenzi Karake, le gouvernement congolais aurait réagi, le ministre de la justice serait entré en contact avec le juge espagnol avec le dossier des victimes congolaises. Mais qui, à Kinshasa osera faire une chose pareille ? Pour moins que ça, des gens comme Floribert Chebeya nous ont quittés…
Par Aron M. Bendelo
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